EN BREF
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Dans un monde où la préservation des océans devient une nécessité urgente face aux défis climatiques et environnementaux, la France et le Brésil se positionnent en tant qu’alliés stratégiques. Leur collaboration, marquée par un engagement commun, vise à protéger non seulement les écosystèmes marins, mais aussi à renforcer les actions au niveau international pour lutter contre la pollution et la dégradation des mers. Ensemble, ces deux pays s’efforcent de mettre l’océan au cœur de l’agenda mondial, favorisant une dynamique de développement durable qui bénéficie aussi bien aux générations présentes qu’à celles à venir.

De Nice à Belém : la France et le Brésil unis pour agir en faveur de l’océan et du climat
Le 19 novembre 2024, une importante rencontre a eu lieu à Rio de Janeiro entre les présidents Luiz Inácio Lula da Silva et Emmanuel Macron. Cette rencontre a abouti à un engagement fort pour faire de la protection de l’Océan et des écosystèmes marins une priorité dans leurs politiques respectives. Les deux pays, tout en reconnaissant que le rôle de l’Océan n’a pas été suffisamment pris en compte dans les discussions internationales, ont convenu d’en faire un axe central de leur diplomatie. En tant que pays partageant des côtes, ils partagent également une responsabilité pour garantir une gestion durable de ces ressources. À travers la COP 30, que le Brésil va accueillir en novembre 2025, et les initiatives planifiées pour la conférence de l’ONU sur l’Océan à Nice en juin 2025, les deux nations visent à stimuler des objectifs climatiques ambitieux et à promouvoir un multilatéralisme efficace.
La collaboration entre la France et le Brésil ne se limite pas seulement à des engagements diplomatiques, mais s’étend également à des actions concrètes. Par exemple, ils prévoient de lancer un plan d’action lors de la conférence à Nice, centré sur la préservation de la santé des océans. Leur approche sera guidée par l’objectif de conserver au moins 30% des zones marines protégées para des méthodes de gestion durable. Cet engagement prend également en compte la biodiversité marine et la nécessité de restaurer les écosystèmes endommagés. Ainsi, la France et le Brésil s’engagent à renforcer leur partenariat pour protéger les ressources océaniques face aux menaces croissantes, telles que la pollution et le changement climatique.
Protéger la biodiversité marine et la vie dans l’Océan
La lutte pour la préservation de la biodiversité marine est au cœur des préoccupations des gouvernements français et brésilien. En renouvelant leur engagement à suivre le cadre de Kunming-Montréal, ces pays s’efforcent d’assurer la conservation de 30% de leurs zones maritimes d’ici 2030. La création d’aires protégées jouera un rôle crucial pour garantir une gestion durable et efficace des ressources marines. Ils reconnaissent également l’importance de régénérer les écosystèmes marins qui ont souffert de dégradations, imposant ainsi des actions concrètes pour restaurer l’équilibre naturel. Cette démarche inclut la collaboration pour une planification spatiale marine qui allie les activités économiques tout en assurant une protection environnementale adéquate.
Afin de mobiliser davantage de fonds pour atteindre ces objectifs, la France et le Brésil s’engagent également à explorer toutes les possibilités de financement, tant publiques que privées. L’aspect vital de la coopération bilatérale est particulièrement accentué, soulignant l’importance d’une approche collective face aux défis globaux tels que les impacts du changement climatique et la pollution par le plastique. Ces efforts concrets témoignent d’une prise de conscience croissante des enjeux écologiques et de la nécessité d’unir les forces pour protéger la vie marine et les écosystèmes vulnérables. Une approche proactive dans ce domaine favorisera également l’adhésion et l’engagement d’autres nations côtières à protéger l’Océan.
Renforcer l’action climatique dans le domaine de l’Océan
Les effets du changement climatique sur les écosystèmes océaniques exigent des réponses immédiates et bien coordonnées. La France et le Brésil, partageant une responsabilité manifeste envers leurs côtes et ressources maritimes, cherchent à intégrer des actions maritimes dans leurs politiques climatiques respectives. Cela inclut la mise en œuvre de mesures adaptées aux plans nationaux d’adaptation et des contributions déterminées au niveau national (CDN) qui tiennent compte des spécificités des milieux marins. En s’attaquant à des sujets comme l’élévation du niveau de la mer et l’acidification des océans, ils visent à protéger les communautés côtières, souvent les plus vulnérables face à ces impacts.
Les deux pays encouragent également les villes côtières à échanger des pratiques exemplaires pour minimiser les impacts liés aux changements climatiques. La coalition « Ocean Rise and Coastal Resilience » est un exemple de cette initiative. En outre, ils soutiennent des projets académiques dédiés à développer le droit international relatif à la mer, particulièrement en ce qui concerne les questions légales liées à l’élévation des mers. Ces efforts exemplifient une démarche holistique qui allie protection des ressources marines et action climatique concrète, en visant à respecter les objectifs de l’accord de Paris et à maintenir la température mondiale en dessous de 1,5°C.
Améliorer nos connaissances scientifiques de l’Océan pour se préparer aux impacts du changement climatique
Une compréhension approfondie des systèmes océaniques est essentielle pour anticiper les effets du changement climatique. La France et le Brésil, forts d’une coopération scientifique de longue date, bénéficient de l’expertise accumulée dans le domaine de l’océanographie et de la biodiversité marine. Ce partenariat constitue un atout majeur pour développer des stratégies efficaces en faveur de la protection des écosystèmes marins. Ainsi, ils s’engagent à approfondir les recherches sur les interactions entre l’océan, le climat et la biodiversité, tout en se concentrant sur les défis contemporains tels que la pollution plastique et la prolifération des algues nuisibles.
Pour faciliter le partage d’informations et l’intégration des données scientifiques dans les politiques publiques, la France et le Brésil cherchent à renforcer le lien entre la recherche, les gouvernements et les organisations internationales. La Commission Océanographique Intergouvernementale de l’UNESCO joue un rôle clé dans cette dynamique d’échanges. Parallèlement, ils soutiennent la mise en place de centres d’excellence dédiés à la recherche océanique, permettant ainsi de répondre efficacement aux Innovations nécessaires pour protéger les océans. L’engagement à investir ensemble dans la recherche ne fera qu’accentuer leurs priorités en matière de durabilité et de résilience face aux défis environnementaux.

Une collaboration exemplaire pour la préservation des océans
Le 19 novembre 2024, lors d’une rencontre à Rio de Janeiro, les présidents Emmanuel Macron et Luiz Inácio Lula da Silva ont scellé un accord stratégique visant à faire de la protection des océans et des écosystèmes marins une priorité dans leurs efforts communs face au changement climatique. Ce partenariat, fruit de la reconnaissance des menaces pesant sur la biodiversité marine, souligne l’importance cruciale de l’Océan dans les dynamiques environnementales globales. En effet, il est la source de plus de 50% de l’oxygène que nous respirons, absorbant en parallèle une grande partie du dioxid de carbone émis par l’activité humaine. Toutefois, cette vitalité océanique est mise à mal par diverses activités humaines, notamment la pollution, l’exploitation excessive des ressources maritimes et les changements climatiques, qui compromettent l’équilibre fragile de ces milieux indispensables.
La France et le Brésil partagent des responsabilités uniques en tant que nations côtières, appelant ainsi à une gestion durable. Le Brésil, hôte de la COP 30 en novembre 2025, incarne une plateforme clé pour que toutes les parties prenantes s’engagent à formuler des objectifs climatiques ambitieux. Dans ce cadre, la collaboration entre les deux pays pourrait ouvrir la voie à des initiatives novatrices, comme le lancement d’un plan d’action commun lors de la Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC) en juin 2025, où un renouvellement d’engagement international pour la sauvegarde de l’Océan sera attendu. Cette conférence vise à rassembler des leaders mondiaux autour de la nécessité de renforcer les mesures de protection marine, en lançant des initiatives concrètes telles que des aires marines protégées et en luttant contre la pêche illégale
Une perspective alternative souligne l’importance de renforcer non seulement les lois et régulations, mais aussi les partenariats globaux en matière de recherche scientifique. Cela permettrait d’approfondir les connaissances sur les écosystèmes marins et les impacts du changement climatique ainsi que de renforcer les initiatives locales adaptées aux besoins spécifiques des populations côtières. En alliant ces efforts scientifiques à des actions politiques efficaces, la France et le Brésil pourraient devenir des leaders dans la lutte pour la préservation des océans, inspirant ainsi d’autres nations à suivre leur exemple.

De Nice à Belém : la France et le Brésil unis pour agir en faveur de l’océan et du climat
Engagements stratégiques pour la préservation des océans
Le 19 novembre 2024, lors d’une rencontre à Rio de Janeiro, les présidents du Brésil et de la France ont pris un engagement fort : faire de la protection des océans et des écosystèmes marins une priorité dans l’agenda international. Ils ont souligné que le rôle vital de l’Océan dans les équilibres climatiques et les menaces sur la vie marine exige une action concertée et immédiate.
Les deux nations, conscientes des défis croissants liés à la pollution marine et aux retombées du changement climatique, ont convenu de collaborations bilatérales et multilatérales visant à intégrer les océans dans leurs stratégies climatiques. Ce qui est essentiel, c’est de créer une dynamique mondiale pour la durabilité des ressources maritimes et de mobiliser des actions concrètes.
- Organisation de la COP 30 au Brésil, visant à établir des objectifs climatiques audacieux.
- Co-organisation de la Conférence des Nations Unies sur l’Océan (UNOC) à Nice en 2025, pour une feuille de route claire sur la protection de l’Océan.
- Engagement à renforcer les aires marines protégées et mettre en œuvre un cadre mondial sur la biodiversité.
- Développement d’une économie bleue, visant à assurer la résilience des communautés côtières.
La France et le Brésil s’engagent à lancer des initiatives destinées à coordonner les efforts nécessaires pour atteindre des objectifs communs, avec un accent sur la formation et le partage des connaissances dans le domaine des sciences océaniques et de la recherche scientifique.

Un engagement fort pour la protection des océans
Le 19 novembre 2024, dans la ville dynamique de Rio de Janeiro, les présidents Luiz Inácio Lula da Silva du Brésil et Emmanuel Macron de France ont annoncé un engagement audacieux en faveur de la protection de l’Océan et de la lutte contre les crises environnementales. Cet engagement illustre la nécessité d’une collaboration internationale où l’Océan occupe une place centrale. Les deux pays reconnaissent que l’agenda international doit refléter l’ampleur des menaces pesant sur la biodiversité marine et sur les écosystèmes côtiers.
Avec la perspective de la COP 30 climat en 2025, le Brésil s’apprête à jouer un rôle clé dans l’adoption de nouveaux objectifs climatiques. En parallèle, la France, aux côtés du Costa Rica, se prépare à accueillir la Conférence des Nations Unies sur l’Océan à Nice. Cet événement marquera un tournant, avec l’adoption du Plan d’action de Nice pour l’Océan qui devrait orienter les futures efforts de préservation.
Les éléments stratégiques clés de cet engagement incluent le soutien à la mise en place d’aires marines protégées, aussi bien que le financement de la biodiversité, reflétant ainsi un souci commun pour la durabilité écologique. En outre, la volonté de restaurer des écosystèmes marins dégradés souligne l’importance accrue de la conservation dans le cadre de la coopération internationale.
Les deux nations s’accordent à dire que la gestion durable des ressources marines est essentielle pour réduire la pression sur les stocks de poissons, tout en luttant contre la pêche illégale. Les mesures doivent s’étendre à l’amélioration des connaissances scientifiques sur nos empires océaniques, permettant ainsi d’appréhender les impacts du changement climatique et d’établir des lignes directrices concrètes.
Enfin, l’appel à intégrer les océans dans les contributions déterminées au niveau national, notamment, est un pas de géant vers un engagement climatique équitable. Le sort de notre planète et de nos océans est entre les mains de notre action collective et stratégique en matière d’environnement.

Dans le cadre d’un engagement bilatéral fort, la France et le Brésil ont affirmé leur priorité pour la protection de l’Océan et des écosystèmes marins face aux défis croissants posés par le changement climatique. Les deux nations, conscientes de leur responsabilité en tant que pays maritimes, ont convenu de développer une économie bleue juste et durable, tout en réaffirmant leur volonté d’atteindre les objectifs ambitieux de l’Accord de Paris.
Au-delà de la COP30 prévue au Brésil et de l’UNOC à Nice, cette collaboration soulève une question essentielle : comment les pays peuvent-ils intégrer la dynamique des océans dans leurs politiques climatiques ? La passionnée préoccupation de la France et du Brésil pour les ressources marines, la biodiversité et la lutte contre la pollution marine est un exemple d’engagement pour un avenir durable. En unissant leurs forces, ces deux nations offrent un modèle d’action collective qui pourrait inspirer d’autres initiatives à l’échelle mondiale.