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EN BREF
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Les énergies renouvelables se trouvent au cœur d’une telle tempête de désinformation, particulièrement lors des débats politiques importants. En effet, une étude récente souligne que les fausses informations concernant ces sources d’énergie écologiques ont connu une forte augmentation, alors même que la législation sur la programmation énergétique était discutée. Cette propension à déformer la réalité autour des énergies vertes soulève des inquiétudes majeures, tant pour la perception publique que pour l’impact sur les politiques environnementales. En traçant les origines et les conséquences de cette désinformation, il devient urgent de protéger la vérité, afin de garantir une transition énergétique éclairée et efficace.
Désinformation autour des énergies renouvelables
L’été a été marqué par une campagne de désinformation frappante ciblant les énergies renouvelables, notamment dans le contexte du débat parlementaire sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Cette situation est illustrée par une étude récente menée par des ONG, qui révèle une hausse alarmante des faux discours autour de ces enjeux cruciaux. Par exemple, des affirmations telles que « les énergies renouvelables augmentent les prix de l’électricité » ou « elles sont inefficaces » ont été largement diffusées, contribuant à fausser le débat public. En juin 2025, presque 120 cas de désinformation ont été relevés, représentant un tiers des 529 incidents identifiés depuis le début de l’année dans les médias français. Ces fausses informations ont eu des conséquences tangibles, comme l’adoption d’un moratoire sur le développement d’installations d’énergies renouvelables, montrant ainsi comment des mensonges peuvent influencer des décisions législatives majeures. En définitive, cette désinformation constitue non seulement un risque pour la transition énergétique, mais menace également la capacité démocratique à servir l’intérêt général face aux intérêts économiques puissants qui s’opposent à une transition vers des systèmes d’énergie plus durables.
Désinformation et Energies Renouvelables : Une Stratégie Délibérée
Durant l’été 2025, un moment crucial pour le débat sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE3), les énergies renouvelables ont été particulièrement attaquées par une vague de d’information erronée. Cette campagne, documentée par une étude réalisée par les ONG Data For Good, QuotaClimat et Science Feedback, a révélé une montée inquiétante de 70% des cas de d’information trompeuse ciblant le secteur énergétique. Ce sondage a mis en lumière près de 120 incidents en seulement un mois, révélant comment des affirmations telles que « les énergies renouvelables sont inefficaces » et « faites exploser le prix de l’électricité » se sont propagées à la télévision et à la radio française. Cette friction entre la perception publique et la réalité des énergies vertes a été exacerbée par des discours politiques souvent biaisés, aboutissant à un résultat concret : un moratoire sur le développement de nouvelles infrastructures d’énergies renouvelables au sein du Parlement.
En se penchant sur ces événements, il devient crucial de comprendre le rôle de la désinformation dans la politique énergétique. Le cas du black-out en Espagne, souvent attribué à l’intermittence des énergies renouvelables, démontre comment un incident isolé peut engendrer des décisions législatives sans fondement solide. Les enquêtes ont montré que cette panne était en réalité liée à des défaillances d’infrastructures dans le réseau électrique. Ainsi, la désinformation ne se contente pas de semer le doute, elle parvient à influencer des décisions qui pourraient contrarié l’avancement vers une transition énergétique durable. Un revirement qui met à jour l’importance non seulement d’éduquer le public, mais aussi de créer un espace où des discours basés sur des faits puissent dominer l’agenda politique afin de renforcer la confiance dans la viabilité des solutions énergétiques durables.
Désinformation sur les Énergies Renouvelables
Une Campagne de Désinformation d’Été
Durant l’été, les énergies renouvelables ont été la cible d’une large campagne de démisinformation, alors que des débats clés sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) se déroulaient au Parlement. Cette situation alarmante soulève des questions sur l’impact des fausses informations sur les décisions politiques et la perception publique.
Une étude récente, réalisée par les ONG Data For Good, QuotaClimat, et Science Feedback, a révélé une multiplication par trois des cas de désinformation sur les énergies renouvelables par rapport au début de l’année. En juin 2025, durant cette période cruciale de débat, près de 120 cas de désinformation ont été recensés, alimentant un sentiment négatif à l’égard des énergies renouvelables dans les médias.
- Données sur les cas de désinformation: Les énergies renouvelables ont constitué 70% des cas de démisinformation climatique en 2025.
- Impact direct sur les politiques: Un moratoire sur le développement des nouvelles installations a été décrété, avant d’être annulé grâce aux preuves apportées contre les fausses informations.
- Exemples de désinformation: L’attribution d’une panne de courant à des énergies renouvelables « intermittentes » a été utilisée pour justifier des décisions politiques majeures.
- Conséquences économiques: Selon le syndicat des énergies renouvelables, la capacité éolienne installée a chuté à son plus bas niveau en 20 ans, illustrant les effets des campagnes de désinformation.
En examinant de tels exemples, il devient clair que cette désinformation ne se limite pas à des discours isolés, mais constitue une menace sérieuse pour l’avenir des énergies renouvelables et, par extension, pour la lutte contre le changement climatique.
Désinformation climatique : un enjeu crucial pour les énergies renouvelables
Cet été, les énergies renouvelables ont été la cible d’une vaste campagne de désinformation, particulièrement active lors des débats parlementaires sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE3). Une étude récente, publiée le 22 octobre par les ONG Data For Good, QuotaClimat et Science Feedback, a révélé que les cas de désinformation sur le climat ont triplé par rapport à janvier 2025, mettant en lumière des affirmations telles que « les énergies renouvelables font exploser le prix de l’électricité » et « le soutien de l’État aux énergies renouvelables est gigantesque« .
Au cours du mois de juin 2025, en pleine discussion parlementaire, près de 120 cas de désinformation ont été identifiés à la télévision et à la radio françaises, sur un total de 529 depuis le début de l’année. Cette réalité a conduit à des décisions significatives, comme le vote d’un moratoire sur le développement des nouvelles installations d’énergies renouvelables à l’Assemblée nationale, avant son annulation. Ainsi, une fausse information hasardeusement relayée a pu justifier de telles mesures législatives, soulignant les conséquences concrètes de la désinformation.
Un rapport accentue aussi l’impact économique de cette désinformation. D’après le syndicat des énergies renouvelables (SER), seules 267 MW de nouvelles capacités éoliennes ont été installées durant le premier semestre 2025, le chiffre le plus bas en 20 ans, résultat directement attribué à une absence de cadre stable et à des campagnes de désinformation.
Les médias jouent un rôle clé dans cette dynamique. CNews et Sud Radio se démarquent en termes de désinformation, avec 164 cas et un cas de mésinformation toutes les 40 minutes respectivement. Cette tendance s’ancre dans une narration où la confiance envers les solutions climatiques est remise en question, exacerbée par des discours politiques souvent trompeurs, notamment de l’extrême droite.
Le rapport souligne également l’influence de certains intérêts économiques, tels que les secteurs des énergies fossiles, qui continuent à peser sur le débat public, en colportant des idées fausses et en fragmentant la couverture médiatique des enjeux environnementaux. Face à ces défis, une proposition de loi tente d’assurer l’accès du public aux informations sur les enjeux environnementaux, mais l’ombre de la désinformation plane toujours. Pour mieux comprendre ces dynamiques complexes, il est crucial de s’interroger sur notre accès à l’information et de favoriser des discussions éclairées sur le climat et les énergies vertes.
Cet été, les énergies renouvelables ont fait face à une campagne de désinformation sans précédent, coïncidant avec l’examen de la feuille de route énergétique au parlement. Une étude des ONG a révélé que la majorité des cas de désinformation climatique s’est concentrée sur ce secteur, avec des accusations sans fondement concernant les coûts et l’efficacité des énergies vertes. Cela a eu des répercussions notables, notamment le vote d’un moratoire sur de nouvelles installations.
Les discours trompeurs qui circulent renforcent une forme de déni climatique, où la légitimité des solutions durables est mise en question. Face à cette érosion de la confiance, des mesures législatives sont actuellement envisagées pour garantir l’accès du public à des informations fiables sur les enjeux environnementaux.
Finalement, il est essentiel de prendre conscience de l’impact de la désinformation sur la transition énergétique. La sensibilisation et la communication claire sur les énergies renouvelables doivent être renforcées pour contrer ces narratifs fallacieux et encourager des discussions constructives pour un avenir durable.